Commémorer, c’est parler la langue des anonymes.
C’est parler du courage des poilus qui rencontrent l’effroi au fond de la tranchée.
C’est vanter l’audace du français libre qui rejoint Londres dès juin 1940.
C’est souligner l’héroïsme discret, parfois anonyme du résistant qui rallie l’armée des ombres.
C’est saluer la dignité du juste qui cache un juif au péril de sa vie. »
Téléchargez le discours intégral de Stéphane RAFFALLI au format PDF